~ LES CONSTITUTIONS d'ANDERSON ~
Toutes
les Grandes Loges du monde,
toutes les Loges, tous les Francs-Maçons
considèrent le texte des
ANCIENNES
OBLIGATIONS
Comme la Loi fondamentale de la
Franc-Maçonnerie Universelle
Le
respect constant et rigoureux de cette tradition,
malgré les diversités de caractère
des Grandes Loges de tous les pays, malgré
la variété des Loges qui les
composent, malgré les tendances particulières
des Frères de toutes origines, de
toutes nationalités, de toutes croyances
et de toutes opinions qui les animent, assure
à l'ordre maçonnique son caractère
universel et permet à tous les Francs-
Maçons de se reconnaître entre
eux comme Frères.
Ces
règles traditionnelles sont notre
ciment et notre lien. Elles sont à
la fois d'ordre moral et d'ordre pratique.
Elles fixent dans ses grandes lignes la
vie des Grandes Loges et celles des Loges,
et assignent à tous nos Frères
des impératifs moraux intangibles.
Elles maintiennent le cadre de l'ascèse
maçonnique, quête perpétuelle
de la vérité et de la justice,
à l'abri de toute querelle religieuse
ou politique.
Elles
permettent à la Franc-Maçonnerie
de constituer ce vrai centre d'union où
se rencontrent fraternellement des hommes
qui, sans Elle seraient demeurés
perpétuellement étrangers
les uns aux autres.
La
Grande Loge de France a décidé,
au cours de son Convent de l'Année
de la Vraie Lumière 5967 de placer
le texte des Obligations en tête de
ses propres
CONSTITUTIONS
comme
la référence à la pure
et authentique tradition maçonnique
dont elle entend maintenir le respect.
Les
Anciennes
Obligations
des
MAÇONS FRANCS
ET ACCEPTES
TÊTES
DE CHAPITRES
à savoir :
I
- Concernant DIEU et la RELIGION.
II
- Du MAGISTRAT CIVIL Suprême et Subordonné.
III
- Des LOGES
IV
- Des MAITRES, Surveillants, Compagnons
et Apprentis.
V
- De la Direction du MÉTIER pendant
le travail.
VI
- De la CONDUITE, à savoir :
1.
Dans la Loge quand elle est constituée.
2.
Conduite après la fermeture de la
Loge
et
avant le départ des Frères.
3.
Conduite quand des Frères se rencontrent
sans
présence
Etrangère mais hors d'une Loge constituée.
4.
Conduite en présence d'Étrangers
non Maçons.
5.
Conduite Chez Vous et dans votre Entourage.
6.
Conduite envers un Frère étranger.
Approuvées
par la Grande Loge et imprimées par
ordre dans la première Édition
du Livre des Constitutions, le 25 mars 1722.
I.
Concernant DIEU et la RELIGION
Un
MAÇON est obligé par sa Tenure
d'obéir à la Loi morale et
s'il comprend bien l'Art, il ne sera jamais
un Athée stupide, ni un Libertin
irreligieux. Mais, quoique dans les Temps
anciens les Maçons fussent astreints
dans chaque pays d'appartenir à la
Religion de ce Pays ou de cette Nation,
quelle qu'elle fût, il est cependant
considéré maintenant comme
plus expédient de les soumettre seulement
à cette Religion que tous les hommes
acceptent, laissant à chacun son
opinion particulière, et qui consiste
à être des Hommes bons et loyaux
ou Hommes d'Honneur et de Probité,
quelles que soient les Dénominations
ou Croyances qui puissent les distinguer;
ainsi, la Maçonnerie devient le Centre
d'Union et le Moyen de nouer une véritable
Amitié parmi des Personnes qui eussent
dû demeurer perpétuellement
Éloignées.
II.
Du MAGISTRAT CIVIL SUPRÊME et SUBORDONNÉ
Un
Maçon est un paisible Sujet à
l'égard des Pouvoirs Civils, en quelque
lieu qu'il réside ou travaille, et
ne doit jamais être mêlé
aux Complots et Conspirations contre la
Paix et le Bien-Être de la Nation,
ni manquer à ses devoirs envers les
Magistrats inférieurs; car la Maçonnerie
a toujours pâti de la Guerre, de l'Effusion
de Sang et du Désordre; aussi les
anciens Rois et Princes ont toujours été
fort disposés à encourager
les Frères, en raison de leur Caractère
Pacifique et de leur Loyauté par
lesquelles ils répondaient en fait
aux chicanes de leurs Adversaires et défendaient
l'Honneur de la Fraternité qui fut
toujours florissante dans les Périodes
de Paix.
Aussi,
si un Frère devenait Rebelle envers
l'État, il ne devrait pas être
soutenu dans sa Rébellion, quelle
que soit la pitié que puisse inspirer
son infortune; et s'il n'est convaincu d'aucun
autre Crime, bien que la loyale Confrérie
ait le devoir et l'obligation de désavouer
sa Rébellion, pour ne provoquer aucune
Inquiétude ni Suspicion politique
de la part du Gouvernement au pouvoir, il
ne peut pas être chassé de
la Loge et ses relations avec elle demeurent
indissolubles.
III.
Des LOGES
Une
LOGE est un lieu où des Maçons
s'assemblent pour travailler : d'où
le nom de LOGE qui est donné à
l'Assemblée ou à la Société
de Maçons régulièrement
organisée, et l'obligation pour chaque
Frère d'appartenir à l'une
d'elles et de se soumettre à ses
Règlements Particuliers ainsi qu'aux
Règlements Généraux.
La Loge est soit particulière, soit
générale et plus on la fréquente,
mieux on la comprend, de même que
les Règlements de la Loge générale
ou Grande Loge annexés ci- après.
Dans
les Temps anciens, aucun Maître ou
Compagnon ne pouvait s'en absenter, spécialement
lorsqu'il y avait été convoqué,
sans encourir une sévère Censure
à moins que le Maître ou les
Surveillants n'aient constaté qu'il
en avait été empêché
par une impérieuse nécessité.
Les
Personnes admises comme membres d'une Loge
doivent être des Hommes bons et loyaux,
nés libres, ayant l'Age de la maturité
d'esprit et de la Prudence, ni Serfs ni
Femmes ni Hommes immoraux ou scandaleux,
mais de bonne réputation.
IV.
Des MAITRES, SURVEILLANTS,
COMPAGNONS et APPRENTIS
Toute
Promotion parmi les Maîtres Maçons
est fondée uniquement sur la Valeur
réelle et sur le Mérite personnel;
afin que les Seigneurs puissent être
bien servis, que les Frères ne soient
pas exposés à l'Humiliation
et que l'Art Royal ne soit point décrié
: pour cela aucun Maître ou Surveillant
n'est choisi à l'Ancienneté,
mais bien pour son Mérite. Il est
impossible de dépeindre ces choses
par écrit, chaque Frère doit
rester à sa propre place et les étudier
selon les méthodes particulières
de cette Confrérie. Tout ce que les
Candidats peuvent savoir c'est qu'aucun
Maître n'a le droit de prendre un
Apprenti s'il n'a pas un Travail suffisant
à lui fournir et s'il n'est pas un
Jeune Homme parfait ne souffrant d'aucune
Mutilation ou Tare Physique qui puisse l'empêcher
d'apprendre l'Art et de servir le Seigneur
de son Maître et de devenir un Frère,
puis un Compagnon en temps voulu après
avoir servi durant le Nombre d'Années
fixé par la Coutume du Pays; et s'il
n'est issu de Parents honnêtes; ceci
afin qu'après avoir acquis les qualités
requises il puisse parvenir à l'Honneur
d'être le Surveillant, puis le Maître
de la Loge, le Grand Surveillant et enfin,
selon son Mérite, le Grand Maître
de toutes les Loges.
Nul
Frère ne peut être Surveillant
avant d'avoir passé le degré
de Compagnon; ni Maître avant d'avoir
occupé les fonctions de Surveillant;
ni Grand Surveillant avant d'avoir été
Maître d'une Loge, ni Grand Maître
s'il n'a pas été Compagnon
avant son Election. Celui-ci doit être,
en outre, de noble naissance ou GENTILHOMME
de bonnes Manières ou quelque SAVANT
éminent ou quelque ARCHITECTE distingué
ou quelque autre HOMME DE L'ART d'une honnête
ascendance et jouissant d'une grande Estime
personnelle dans l'Opinion des Loges. Et
afin de pouvoir s'acquitter le plus utilement,
le plus aisément et le plus honorablement
de son Office, le Grand Maître détient
le pouvoir de choisir son propre Député
Grand Maître qui doit être alors
ou avoir été précédemment
le Maître d'une Loge particulière
et qui a le Privilège d'agir comme
le ferait le Grand Maître lui-même,
son Commettant, sauf quand le dit Commettant
est présent ou qu'il manifeste son
Autorité par une Lettre.
Ces
Administrateurs et Gouverneurs, supérieurs
et subalternes de la Loge ancienne, doivent
être obéis dans leurs Fonctions
respectives par tous les Frères,
conformément aux Anciennes Obligations
et Règlements, en toute Humilité,
Révérence, Amour et Diligence.
V.
De la DIRECTION du METIER pendant le TRAVAIL
Tous
les Maçons travailleront honnêtement
pendant les jours ouvrables
afin de profiter honorablement des jours
de fête; et l'horaire prescrit par
la Loi du Pays ou fixé par la coutume
sera respecté.
Le
Compagnon Maçon le plus expert sera
choisi ou délégué en
qualité de Maître ou Surintendant
des Travaux du Seigneur; ceux qui travaillent
sous ses ordres l'appelleront Maître.
Les Ouvriers doivent éviter tout
Langage déplacé, et ne point
se donner entre eux de sobriquets désobligeants,
mais s'appeler Frère ou Compagnon;
et se conduire avec courtoisie à
l'intérieur de la Loge.
Le
Maître, confiant en son Habileté,
entreprendra les Travaux du Seigneur aussi
raisonnablement que possible et tirera parti
des matériaux comme s'ils étaient
à lui, ne donnant à aucun
Frère ou Apprenti plus que le salaire
qu'il mérite vraiment.
Le
Maître et les Maçons recevant
chacun leur juste Salaire seront fidèles
au Seigneur et achèveront leur Travail
consciencieusement, qu'il soit à
la Tâche ou à la Journée;
et ils n'effectueront pas à la Tâche
l'Ouvrage qu'on a l'habitude de faire à
Temps.
Nul
ne se montrera Envieux de la Prospérité
d'un Frère ni ne le supplantera,
ni ne l'écartera de son Travail s'il
est capable de le mener à bien; car
personne ne peut achever le Travail d'autrui,
à l'avantage du Seigneur, sans être
parfaitement au courant des Projets et Conceptions
de celui qui l'a commencé.
Quand
un Compagnon Maçon est désigné
comme Surveillant des Travaux sous la conduite
du Maître, il sera équitable
tant à l'égard du Maître
que des Compagnons, surveillera avec soin
le Travail en l'absence du Maître
dans l'intérêt du Seigneur;
et ses Frères lui obéiront.
Tous
les Maçons employés recevront
leur salaire uniment, sans Murmure ni Révolte,
et ne quitteront pas le Maître avant
l'achèvement du Travail.
On
instruira un Frère plus jeune dans
le travail pour que les Matériaux
ne soient point gâchés par
manque d'Expérience et pour accroître
et consolider l'Amour Fraternel.
On
n'utilisera dans le travail que les Outils
approuvés par la Grande Loge.
Aucun
Manoeuvre ne sera employé aux Travaux
propres à la Maçonnerie; et
les Francs-Maçons ne travailleront
pas avec ceux qui ne sont pas francs, sauf
nécessité impérieuse;
et ils n'instruiront ni les Manoeuvres ni
les Maçons non acceptés, comme
ils instruiraient un Frère ou un
Compagnon.
VI.
De la CONDUITE,
à savoir:
1. Dans la LOGE quand
elle est CONSTITUÉE.
Vous
ne devez pas tenir de Réunions privées,
ni de Conversations à part sans Autorisation
du Maître, ni parler de choses inopportunes
ou inconvenantes; ni interrompre le Maître,
ou les Surveillants ni aucun Frère
parlant au Maître: ne vous conduisez
pas non plus de manière ridicule
ou bouffonne quand la Loge traite de choses
sérieuses et solennelles; et sous
aucun prétexte n'usez d'un Langage
malséant; mais manifestez à
votre Maître, à vos Surveillants
et à vos Compagnons la Déférence
qui leur est due et entourez-les de respect.
Si
quelque Plainte est déposée,
le Frère reconnu s'inclinera devant
le Jugement et la Décision de la
Loge, qui est le seul Juge compétent
pour tous ces Différends (sous réserve
d'Appel devant la Grande Loge), et c'est
à elle qu'il doit être déféré,
à moins que le Travail d'un Seigneur
ne risque d'en souffrir, dans lequel cas
il serait possible de recourir à
une Procédure particulière;
mais les affaires Maçonniques ne
doivent jamais être portées
en Justice, à moins d'absolue Nécessité
dûment constatée par la Loge.
2.
CONDUITE après fermeture de la LOGE
et avant le départ des FRÈRES.
Vous
pouvez jouir d'innocents plaisirs, vous
traitant réciproquement suivant vos
Moyens, mais en évitant tout Excès
et en n'incitant pas un Frère à
manger ou à boire plus qu'il n'en
a envie, en ne le retenant pas lorsque ses
Affaires l'appellent, en ne disant et en
ne faisant rien d'offensant ou qui puisse
interdire une Conversation aisée
et libre; car cela détruirait notre
Harmonie, et ruinerait nos louables Desseins.
C'est pourquoi aucune Brouille ni Querelle
privée ne doit passer le Seuil de
la Loge, et moins encore quelque Querelle
à propos de la Religion, des Nations
ou de la Politique car comme Maçons
nous sommes seulement de la Religion Catholique
mentionnée ci-dessus; nous sommes
aussi de toutes Nations, Idiomes, Races
et Langages et nous sommes résolument
contre toute POLITIQUE comme n'ayant jamais
contribué et ne pouvant jamais contribuer
au Bien-Etre de la Loge. Cette Obligation
a toujours été strictement
prescrite et respectée; surtout depuis
la Réforme en Grande-Bretagne, ou
la Séparation et la Sécession
de ces Nations de la Communion de Rome.
3.
CONDUITE quand les FRÈRES se rencontrent
sans présence étrangère
mais hors d'une LOGE CONSTITUÉE.
Vous
devez vous saluer réciproquement
de manière courtoise, comme on vous
l'enseignera, vous appelant mutuellement
Frère, échangeant librement
les Instructions que vous jugerez utiles,
sans être vus ni entendus, sans prendre
le pas l'un sur l'autre, ni manquer aux
marques de Respect qui seraient dues à
un Frère, s'il n'était pas
Maçon: car quoique les Maçons
en tant que Frères soient tous sur
un pied d'Egalité, la Maçonnerie
ne prive pas un Homme des Honneurs auxquels
il avait droit auparavant; bien au contraire,
elle ajoute à ces Honneurs, spécialement
lorsqu'il a bien mérité de
la Fraternité qui se plaît
à honorer ceux qui le méritent
et à proscrire les mauvaises manières.
4.
CONDUITE en Présence d'ÉTRANGERS
non MAÇONS.
Vous
serez circonspects dans vos Propos et dans
votre Comportement, pour que l'Étranger
le plus perspicace ne puisse découvrir
ni deviner ce qu'il ne doit pas connaître,
et vous aurez parfois à détourner
la Conversation et à la conduire
prudemment pour l'Honneur de la vénérable
Fraternité.
5.
CONDUITE Chez Vous et dans votre Entourage.
Vous
devez agir comme il convient à un
homme sage et de bonnes moeurs; en particulier
n'entretenez pas votre Famille, vos Amis
et Voisins des Affaires de la Loge, etc.,
mais soyez particulièrement soucieux
de votre propre Honneur, et de celui de
l'ancienne Fraternité, ceci pour
des Raisons qui n'ont pas à être
énoncées ici. Ménagez
aussi votre Santé en ne restant pas
trop tard ensemble ou trop longtemps dehors,
après les Heures de réunion
de la Loge; et en évitant les excès
de chère ou de boisson, afin que
vos Familles ne souffrent ni désaffection
ni dommage, et que vous-même ne perdiez
pas votre capacité de travail.
6.
CONDUITE envers un FRÈRE étranger.
Vous
devez l'éprouver consciencieusement
de la Manière que la Prudence vous
inspirera, afin de ne pas vous en laisser
imposer par un Imposteur ignorant, que vous
devez repousser avec Mépris et Dérision,
en vous gardant de lui dévoiler la
Moindre Connaissance.
Mais
si vous le reconnaissez comme un Frère
authentique et sincère, vous devez
lui prodiguer le respect qu'il mérite;
et s'il est dans le besoin, vous devez le
secourir si vous le pouvez, ou lui indiquer
comment il peut être secouru: vous
devez l'employer pendant quelques Jours
ou le recommander pour qu'on l'emploie.
Vous
n'êtes pas obligé de faire
plus que vos moyens ne vous le permettent
mais seulement dans des circonstances identiques,
de donner la préférence à
un Frère pauvre, qui est un Homme
bon et honnête, avant toute autre
Personne dans le besoin.
Enfin,
toutes ces OBLIGATIONS doivent être
observées par vous, de même
que celles qui vous seront communiquées
d'autre manière; cultivez l'Amour
Fraternel, Fondement et clé de voûte,
Ciment et Gloire de cette ancienne Fraternité,
repoussez toute Dispute et Querelle, toute
Calomnie et Médisance, ne permettez
pas qu'un Frère honnête soit
calomnié, mais défendez sa
Réputation, et fournissez-lui tous
les Services que vous pourrez, pour autant
que cela soit compatible avec votre Honneur
et votre Sûreté, et pas au-delà.
Et si l'un d'eux vous fait Tort, vous devez
recourir à votre propre Loge ou à
la sienne, ensuite vous pouvez en appeler
à la GRANDE LOGE en Assemblée
Trimestrielle, et ensuite à la GRANDE
LOGE annuelle, selon l'ancienne et louable
Coutume de nos Ancêtres dans chaque
Nation; n'ayez jamais recours à un
procès en Justice sinon quand l'Affaire
ne peut pas être tranchée autrement,
et écoutez patiemment les Conseils
du Maître et des Compagnons lorsqu'ils
veulent vous éviter de comparaître
en Justice avec des Profanes ou vous inciter
à mettre un terme rapide à
toutes Procédures, ceci afin que
vous puissiez vous occuper des Affaires
de la MAÇONNERIE avec plus d'Alacrité
et de Succès; mais en ce qui concerne
les Frères ou Compagnons en Procès,
le Maître et les Frères doivent
offrir bénévolement leur Médiation,
à laquelle les Frères en opposition
doivent se soumettre avec gratitude; et
si cet Arbitrage s'avère impraticable,
ils doivent alors poursuivre leur Procès
ou Procédure Légale, sans
Aigreur ni Rancune (contrairement à
l'ordinaire) en ne disant et en ne faisant
rien qui puisse altérer l'Amour fraternel,
et les bonnes Relations doivent être
renouées et poursuivies; afin que
tous puissent constater l'Influence bienfaisante
de la MAÇONNERIE, ainsi que tous
les vrais Maçons l'ont fait depuis
le commencement du Monde et le feront jusqu'à
la fin des Temps.
AMEN.
AINSI SOIT-IL.
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